Une semaine en Russie pour fêter mes 23 ans !

Tout est parti d’une promesse faite dans un restau jap’ en Thaïlande : et si on allait fêter nos 23 ans en Russie ?

Sans doute trop dopées au dessin animé Anastasia, attirées par un pays dont on vante si peu les incroyables richesses, fascinées par ce monde de glace et de palais, nous voici avec de grands yeux rêveurs devant notre Katsudon, telles deux fillettes de 6 ans. Une de mes meilleures amies rencontrée en Thaïlande et moi partageons la même admiration pour la Russie et nos anniversaires se suivent de seulement quelques jours. Ç’aurait pu n’être qu’une parole en l’air, mais à peine rentrée en France, me voilà qui réserve billets d’avion, hôtels et organisme de Visa Express dans la foulée, en février, pour repartir dès le 9 avril 2018. Il paraît que quand on s’essaye au voyage, on y prend goût et qu’on ne s’arrête plus… Cela me semble bien vrai, car j’ai désormais la tête dans les bagages en permanence, et des onglets de comparateurs de vols régulièrement en veille sur mon ordinateur.

1 semaine en Russie

La Russie en 1 semaine : cap ou pas cap ?

Bon, soyons clairs, la Russie c’est un pays d’une superficie de 17,1 millions km². En comparaison, la France fait 643 801 km², elle est donc 26,56 fois plus petite. Vous avez déjà fait le tour de la France, vous ? Alors n’imaginez pas faire celui de Russie en 1 semaine, surtout si on prend en compte le fait que la Sibérie à elle seule a une envergure de 13,1 millions de km². Notre programme s’est donc concentré sur Moscou et Saint Petersbourg. En une semaine, c’est largement suffisant pour voir l’essentiel de ces villes. Les points d’intérêt sont relativement concentrés dans le centre, ce qui fait que vous économisez un temps fou en transport et pouvez faire beaucoup de visites à la suite. Ce n’est pas comme Paris où il faut en permanence reprendre le métro pour aller d’un point A à un point B, et prévoir des itinéraires stratégiques à l’avance pour s’éviter des allers-retours. Mon conseil pour la Russie ? Faites une présélection des lieux que vous ne voulez surtout pas manquer (vous trouverez toujours de nouveaux lieux d’intérêt une fois sur place, prévoyez quelques heures de libre pour vous laisser surprendre). Ensuite, ouvrez l’application Google Maps sur votre téléphone (ou pc, pour les moins Digital Nomad, mais bien moins pratique), sélectionnez l’onglet « vos adresses » puis « adresses enregistrées », créez une liste par ville au programme, et entrez les adresses de tous les lieux que vous voulez découvrir. Bars, restaurants, musées, palais, monuments… L’application créera un ping sur la carte (un petit point) et cela vous permettra de visualiser l’emplacement de tous ces endroits, ceux qui sont regroupés, et vous pourrez donc prévoir un planning de visite intelligent !

Que faire à Moscou en 2 jours ?

Nous avons pris l’avion le lundi à 16h et sommes arrivées vers 1h30 du matin à Moscou. Il y a une heure de plus qu’en France, en Russie, mais si le trajet a été long c’est parce que nous avons choisi des vols avec correspondance pour avoir des billets au meilleur prix. Moscou est une très belle ville, les immeubles sont sublimes, la place rouge vous en mettra plein les yeux, même les centres commerciaux semblent sortis d’un Disney. En revanche, 2 jours suffisent pour en voir l’essentiel.

que faire à moscou en 2 jours ?
Cathédrale Saint Basile le Bienheureux

Un départ compromis

Qui dit voyage dit imprévus, et pour cette semaine en Russie, nous avons cumulé ! Complètement déconnectée de l’actu en France, j’avais réservé mes billets sans savoir qu’il y aurait des grèves de SNCF. J’ai donc dû partir 3 jours plus tôt à Paris pour éviter un covoiturage de 7h (quand ce n’est que 3h en train), mais surtout pour être sûre de monter dans l’avion. Pas grave, Clémence vit sur place, c’est l’occasion de finir les derniers préparatifs ensemble et de voir les copains. Le lundi venu, nous décidons de retirer de l’argent pour pouvoir le changer en Russie, sans les frais de retrait à l’étranger. Quelle surprise quand la carte de Clémence se trouve bloquée sans raison ! Mais le lundi… Les banques sont fermées. Appel à l’assistance qui ne comprend pas, panique : nous sommes le jour du départ et mon plafond de retrait de ne me permet pas de l’avancer complètement. Si nous nous y étions prises la veille, nous aurions pu nous arranger sur deux jours, mais l’heure tourne et nous commençons à voir les restau et sorties s’éloigner pour une semaine de sandwiches et de kilomètres de marche (sans Uber). Ouf, au dernier moment, l’assistance téléphonique trouve une agence ouverte à 30 min de métro. On fait la queue, le conseiller au guichet débloque la carte « c’est bon pour la France mademoiselle, en revanche j’espère que vous partez pas à l’étranger, c’est toujours bloqué ». On commence à voir rouge : « mais monsieur, nous partons pour la Russie ». Comment dire que se trouver sans carte au bout du monde n’est absolument pas rassurant en cas d’imprévu ? Après maintes tentatives, la carte est enfin débloquée ! Dommage qu’il y ait grève, les RER sont très espacés, nous avons perdu beaucoup de temps et devons nous rabattre sur un Uber pour être sûres de monter dans l’avion. Heureusement que nous n’avons pas retiré juste avant de prendre le RER, comme c’était prévu au départ, car on aurait sûrement loupé l’avion…

Nous en stress devant le banquier

Une arrivée tout aussi turbulente

Après cette petite frayeur, nous voici dans l’avion et nous atterrissons à Moscou vers 1h30 du matin. Notre premier réflexe est d’acheter une carte SIM avec internet illimité. Bon, nous aurions pu nous rabattre sur une plus version avec un débit limité, moins chère (je précise pour les voyageurs qui cherchent des infos pour partir en Russie : il existe 3 types de carte SIM), mais en bonnes descendantes de la génération Y, nous voulions être connectées à nos amis, notre famille, mais surtout pouvoir utiliser la MAPS et Uber à tout moment. Manque de pot, mon application UBER refuse de fonctionner, or nous sommes à 1h15 de voiture de notre hôtel. Les chauffeurs de taxi nous sautent dessus, nous les esquivons, quand un homme au guichet du service « GETT » (une sorte de Uber) nous propose un tarif plus intéressant qu’Uber. C’est parti, je télécharge son appli, passe  commande, et il nous demande d’attendre dans un anglais plus qu’approximatif. Il appelle un chauffeur, nous signale que nous pouvons le retrouver dehors, et nous mettons littéralement 5 minutes pour atteindre la file des taxis. Sur place, aucune voiture correspondant à celle qui doit nous attendre. Nous appelons le chauffeur, celui-ci ne parle pas anglais et me sort tout un charabia en Russe. Ok, très bien, mais il est 2h du matin, où est notre voiture ?! Un chauffeur nous aborde, il parle un peu anglais, je lui passe mon chauffeur au téléphone et ils se parlent en Russe. « Il a attendu 10 minutes, vous n’êtes pas venues alors il est parti pour une autre course », nous indique le gentil papi. Je vois rouge à nouveau : serait-ce donc l’effet Russie jusqu’au bout ? (oui, oui, j’ai osé le jeu de mot). La course est déjà réglée, nous n’avons pas de chauffeur et nous nous trouvons coincées à l’aéroport à 2h du matin. Je ne rêve que d’une chose : un lit ! Il nous faut repasser les contrôles de sécurité à l’entrée de l’aéroport, perdre encore du temps et devoir se désaper à moitié car je suis l’homologue de Mister T. avec mes 3000 bracelets et que je fais sonner tous les portiques de sécurité en permanence, courir au bureau où nous avions réservé, expliquer notre mésaventure au vendeur via une tablette de traduction (il n’entrave rien à l’anglais et a l’air encore plus blasé que nous d’être là), pleurer pour se faire rembourser et nous finissons par réussir à commander un Uber (les taxis alignés devant l’aéroport étant hors de prix, vous pensez bien que nous avons d’abord demandé à notre gentil papi, qui après nous avoir proposé le quintuple du montant de la course via Gett ou Uber, est descendu au double… Mais ça reste le double !). Après maintes galères pour trouver le Uber, nous finissons enfin par poser nos fesses dans une voiture vers 2h30 du matin, et arrivons à l’hôtel 1 heure plus tard. Le veilleur de nuit nous accueille dans sa tenue de Hitman, ça nous rebooste immédiatement : ok, on est dans le bon vieux cliché, mais on adore ! Avec ses cheveux blancs, ses lunettes noires et son costume, notre Sergeï (nous l’avons baptisé ainsi, en vrai on ignore son nom) a la classe à la mafioso russe.

« J’ai eu 15 crises de nerfs depuis que je suis arrivée ici »

Visiter Moscou en 2 jours : les incontournables

Nous avons eu la chance d’arriver pendant les festivités de Pâques. Nous ignorions que la fête était célébrée de la sorte ici et avons eu l’agréable surprise de voir les rues fleuries, des petits marchés avec plein de gourmandises typiques, d’immenses sculptures de fleurs colorées en forme d’œufs : bref, un plaisir. Après une nuit très courte, nous avons pris une carte de 20 voyages de métro : très pratique car elle n’est pas nominative et peut servir pour deux. Vous imaginez bien la galère de s’y retrouver quand tout est écrit en cyrillique, heureusement Clémence a un bac +8 en RATP et maîtrise toutes les lignes de métro du monde, et de mon côté il me reste quelque notions de russe de mes lointains cours de L3 (qui n’avaient lieu qu’une semaine sur deux, pendant le deuxième semestre, et souvent les soirs d’afterwork… Autant vous dire que mes connaissances sont très limitées, car je n’ai pas vu souvent la salle de cours).

que faire à Moscou ?
Décorations pour Pâques

Nous avons commencé par la place rouge : visite de la basilique Sain Basile le Bienheureux, visite d’une autre église qui se trouve sur la place rouge, découverte du magnifique centre commercial GUM, où nous avons pu changer nos euros dans une banque à un taux hyper intéressant (ne changez pas à l’aéroport, ou alors le strict nécessaire pour payer un taxi/une carte SIM, je vous jure que vous allez y laisser un rein). Nous avons mangé sur une petite place animée pour Pâques, puis après une petite balade dans le centre et un goûter au Café Pouchkine, nous avons pris un Uber jusqu’au marché d’izmaïlovo, un petit village-marché complètement féérique. Malheureusement, désorganisées comme nous sommes, nous avons débarqué un peu avant 18 heures, et beaucoup de boutiques étaient fermées. Je pense qu’en milieu de journée, l’endroit doit être incroyable. Cela ne nous a pas empêchées de profiter des maisons typiques et des couleurs chatoyantes ! Le soir, nous nous sommes arrêtées dans un bar où le barman, super sympa, m’a fait goûter plusieurs bières russes pour me permettre d’en commander une qui serait à mon goût, puis nous sommes allées nous coucher après un premier repas typique. Le lendemain, nous avons loupé la visite du théâtre Bolchoï car l’horaire indiquée sur le site n’était pas actualisée, et il n’y en a qu’une par jour… Nous avons donc fait le mausolée de Lénine (où on voit le corps de Lénine parfaitement conservé, ce qui est assez impressionnant), puis nous avons enchaîné avec la visite du Kremlin et de ses nombreuses églises. Nous avons aussi fait le musée d’Histoire (le bâtiment rouge qui semble surmonté de crème fouettée), qui est très intéressant !

Nouveau rebondissement

Nous avions prévu de nous rendre à Saint Petersbourg en train de nuit. Dans la journée, Clémence a voulu revérifier nos billets, départ prévu à minuit 10, et s’est rendu compte… Que nous aurions dû partir dans la nuit du mardi au mercredi, et non pas du mercredi au jeudi ! Et oui, les horaires autour de minuit sont souvent traitres. J’avoue qu’on avait un peu la mort de devoir repayer un billet, mais ça fait partie des joies du voyage, et je n’aurais pas eu tant à vous dire si nous n’avions pas cumulé les péripéties ! Il y a 3 classes dans les trains de nuit russes : la 3e, où dorment une cinquantaine de personnes, la 2e où on partage un compartiment à 4, et la première où on n’est que deux. Je me suis donc consolée en songeant que nous avions fait une bonne action pour les deux autres personnes avec qui nous aurions dû partager un wagon et qui ont donc eu le sentiment de voyager en première.

Le train de nuit de Moscou à Saint Petersbourg

 

Mon conseil : réservez les lits du bas ! Sinon, c’est une galère pour escalader et aussi pour descendre, surtout si vous êtes un adepte du pipi nocturne. Je rêvais de faire le transsibérien après la Thaïlande, mais le combo « Billets hors de prix + je n’ai que des shorts dans ma valise alors qu’il fait -20 » m’en a dissuadée. J’attendais donc beaucoup de ce trajet, et je n’ai pas été déçue ! C’est comme dans le Poudlard Express, et ça a ravi la fan d’Harry Potter que je suis. A cause de notre mésaventure, nous avons dû récupérer les places qu’il restait (heureusement qu’il en restait en seconde classe) et nous n’avons pas pu choisir nos lits. Bien sûr, on s’est donc retrouvées sur les lits du haut. Totalement étrangères à ce mode de transport, nous étions un peu perdues. Un papi est arrivé pour prendre place sur une couchette du bas, et nous voilà paniquées : l’homme est hagard, il ne parle pas du tout anglais, on a l’impression qu’il va nous claquer dans les doigts. Un jeune russe arrive ensuite, Nikita, il baragouine quelques mots d’anglais, nous parle un peu de la Russie, c’est de suite plus convivial même si nous ne parvenons pas à échanger très longtemps car son anglais reste limité (et puis parce qu’il est minuit et qu’on est pas là pour faire une soirée pyjama non plus). Je le vois partir se changer et toquer pour re-rentrer, je comprends donc que la porte se verrouille quand elle est fermée. Prise d’une envie subite de me soulager la vessie en pleine nuit, je panique : je ne veux pas réveiller nos deux co-voyageurs russes, mais je n’ai pas envie de finir ma nuit dans le couloir. Ouf, vers 4 heures du matin je parviens à intercepter un mouvement de Clem et elle me dit qu’elle m’ouvrira la porte. Elle lutte contre le sommeil pendant 5 minutes pour ne pas m’abandonner à mon triste sort, et m’ouvre la porte après deux-trois grattements délicats. On fait une sacrée équipe, je parviens enfin à dormir un peu sans me préoccuper de ma vessie. Mais quelle ne fut pas ma surprise de découvrir au petit matin qu’il y avait des @!#&%# de cartes pour ouvrir la porte ! Bref, de vraies débutantes…

Que faire à Saint Petersbourg en 3 jours ?

Saint Petersbourg est une ville riche, aux immeubles magnifiques, où il est très facile de se déplacer à pied. Cette fois, notre immeuble était en plein centre, nous avons donc pu jongler entre marche et Uber, sans utiliser le métro (même s’il est présent et très simple à utiliser). Dès le premier jour, nous avons fait un arrêt à la Cathédrale Notre-Dame-de-Kazan, une visite qui n’était pas planifiée mais nous sommes passées devant et nous nous sommes laissées attirer par ce bâtiment imposant. Nous avons assisté à notre première messe orthodoxe (en partie), ce qui m’a permis de constater les nombreuses différences avec les cérémonies catholiques. C’était très intéressant. Nous avons ensuite visité l’immeuble de la Compagnie Singer, un bâtiment sublime transformé en immense librairie, pour poursuivre avec le Musée des illusions. En sortant, nous avons entendu une fanfare et avons suivi le bruit : en 2 minutes de marche, nous avons débouché devant le palais de l’Hermitage où se déroulait une parade. Nous avons visité le musée le lendemain, pour enchainer avec un saut au Palais de Catherine, qui jouxte le Palais Alexandre (malheureusement fermé pour travaux). A cause des embouteillages, nous n’avons pas pu arriver avant la fermeture et n’avons vu que le parc… Les lacs étaient encore gelés, et même les canaux dans Saint Petersbourg comportaient des blocs de glace qui flottaient encore à la surface, malgré une météo assez clémente. Nous n’avons malheureusement pas eu le temps de faire un saut au Palais de Peterhof. Cependant, nous avons visité la Cathédrale Saint-Sauveur-Sur-Le-Sang-Versé et le musée de la Vodka (avec dégustation de 3 shots de Vodka et d’apéritifs typique à base de lard fumé, de hareng et de cornichon… Une horreur !). Nous sommes aussi allées voir un Opéra au théâtre Mikhaïlovski, La Bohème, en Italien sous-titré russe… Comment vous dire… Heureusement qu’il y avait une entracte après les 2 premiers tableaux afin que l’on puisse se rendre sur wikipédia pour comprendre de quoi ça parlait, car ce fut long, très long… Mais grâce à nos recherches, la suite de l’Opéra a été beaucoup plus agréable, et même si nous ne comprenions pas tout, c’était très beau à regarder.

La russie, un pays à découvrir

La Russie est loin d’être un pays auquel on pense spontanément pour un voyage. C’est pourtant l’un de mes plus beaux voyages, je le mettrai sans doute dans mon top 3 ! Les villes sont sublimes, colorées, la nourriture est à se taper le cul par terre (j’ai même goûté de l’élan) et, contrairement à ce que l’on entend souvent, les gens sont très gentils ! Les russes ne parlent pas très bien anglais, cependant on parvient toujours à se faire comprendre et ils sont très disponibles pour vous aider quand vous cherchez votre métro ou un monument. Si vous baragouinez quelques mots de russe, comme moi, alors ils seront ravis et feront tous les efforts possibles pour discuter avec vous et vous aider. La Russie est incontestablement un pays où je retournerai !

8 Comments

  1. Françoise Heurion

    avril 22, 2018 at 4:17

    Je suis bien contente que tu as aimé la Russie ! Moscou et Saint Petersbourg sont deux très belles villes ; pour ma part , j’ ai une préférence marquée pour St Pet , mais Moscou m’ a étonnée : je l’ avais crue plus grise et morose qu ‘elle n’ est en réalité .
    Vous vous êtes bien débrouillées , les filles ! Bravo ! Pas toujours simple quand on ne parle pas ( ni ne lit ) la langue !

    Si tu disposais de plus de temps la prochaine fois , je te suggérerais de faire Moscou-St Pet en bateau , c’ est génial . Enfin , il faut aimer la nature , mais tu l’ aimes !
    Bisous . Françoise

    1. paulineperrier

      avril 23, 2018 at 8:46

      J’ai adoré, mais avec une préférence pour Moscou, étonnamment ! Pour le russe, je connais les politesses, je sais poser quelques questions et j’arrive à le lire, donc ça facilitait quand même les choses. Pour le bateau, c’est déjà noté pour un éventuel prochain voyage, je pense que ça doit être sublime. Merci pour les conseils 🙂

  2. Kirsteen Duval

    avril 23, 2018 at 6:54

    Une vraie globetrotteuse ! Bon anniversaire au passage ma Belle !!! 🙂
    ( encore un excellent article qui nous fait voyager, merci ! )

    1. paulineperrier

      avril 23, 2018 at 8:46

      Pas encore globetrotteuse mais j’essaie 🙂
      Merci beaucoup et ravie d’avoir pu te faire un peu voyager

  3. Corina Malauca

    octobre 23, 2018 at 7:23

    Hahaha ! J’ai adoré lire tes aventures.

    1. paulineperrier

      octobre 26, 2018 at 5:57

      Merci beaucoup 🙂

  4. Carolyne

    avril 7, 2019 at 11:04

    Hello, je prévois de partir début juillet en Russie ( 1 semaine) en faisait comme toi, Moscou et St Pétersbourg. J’ai quelques questions:
    – cmt as tu fait pour obtenir le VISA ? J’ai entendu dire que c’était compliqué..
    – niveau sécurité en étant 2 filles, tu n’as pas eu de soucis ?
    – mon amie et moi parlons anglais mais pas du tout russe, on peut se débrouiller facilement ?
    – on est obligé d’acheter une carte sim russe ? Les hotels et lieux publics n’ont pas de connexion wifi?

    Merci bcp !

    1. paulineperrier

      avril 8, 2019 at 9:07

      Bonjour Carolyne, je t’invite à repasser sur le blog d’ici 2 semaines, je prévois un nouvel article sur Moscou.
      Comme je le mentionne brièvement en début d’article, je suis passée par un organisme pour le Visa car je n’étais pas sur Paris, et il faut également prendre un voucher via ton hôtel. Tu trouveras plus d’explications sur Google.
      Aucun problème niveau sécurité. J’ai trouvé les russes accueillants et c’est comme dans toutes les grandes villes. Je ne me souviens plus pour les connexions wifi, mais personnellement je trouve que prendre une carte Sim est toujours la meilleure option. Si tu es perdue quelque part ou si tu sors un peu de la ville, au moins tu as ce filet de sécurité.

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