Je suis née à Nîmes le 21 mars 1995. J’ai grandi près de la mer, des oliviers et de la garrigue.
Enfant, j’étais une rêveuse endurcie. Je me nourrissais de contes, de mondes merveilleux, d’imaginaire. Dévoreuse de livres, je tuais le temps en inventant la suite des histoires que je lisais ; je m’évadais de mon petit village en créant des palais de glace dans des contrées lointaines, en imaginant des quêtes périlleuses et en tissant des destins hors du commun.
Les contes et la poésie furent mes premières amours puis, en grandissant, je me suis tournée vers la nouvelle et le roman. Je ne me suis jamais demandé pourquoi j’écrivais. Plus qu’une passion, c’est un besoin, une pulsion qui me tire du lit la nuit.
A 17 ans, j’ai remporté le Prix de la Relève du concours littéraire organisé par la ville de Saint-Jean-Port-Joli, au Québec. La même année, une de mes nouvelles a été publiée dans une anthologie.
Après une hypokhâgne-khâgne, je me suis orientée vers une école supérieure de commerce, sans projet professionnel concret. Je m’y suis spécialisée en marketing-communication après un stage passionnant dans une petite maison d’édition à compte d’auteur. J’ai notamment réalisé un stage de 7 mois en Thaïlande avant de me lancer en tant que web-rédactrice freelance, en parallèle de mes derniers mois d’études. Curieuse, je touche à tout, j’explore différents domaines, bien que tout me ramène toujours à l’écriture.
Au fil des ans, j’ai écrit des bouts de textes, je les ai effacés, abandonnés, supprimés, recommencés, oubliés… Je les ai parfois achevés, au prix de nuits blanches, de longs questionnements, de périodes de découragement, mais c’est le 27 décembre 2016 que mon rêve s’est concrétisé : une maison d’édition voulait me publier. Cris de joie, danse du soleil et tohu-bohu dans la maison ! Un contrat à compte d’éditeur, c’est un peu le Graal après lequel courent tous les auteurs et je venais de trouver le mien. Pour un cadeau de Noël, c’en était un sacrément beau.
Depuis, mon deuxième roman est paru à l’automne 2018. Je défends La Brèche et la Mélancolie du Pivert sur les salons littéraires entre deux amphis de e-marketing et je continue à écrire dès que mon emploi du temps me le permet.
Je conclurai par cette citation de Carl Sandburg (traduite par mes soins), que j’aime particulièrement :
« Je suis une idéaliste. J’ignore où je vais, mais je suis en chemin. »
Je te découvre grâce au Café des Blogueuses et je repasserai par ici ce soir, quand j’aurai un peu plus de temps.
Ecrire un roman est un de mes rêves, auquel j’ai réellement commencé à me consacrer il y a peu de temps. Du coup, je me sens un peu proche de toi…
Je me procurerai ton livre dans peu de temps et ne manquerai pas de te donner mon avis !
Des bisous !
Aude
Bonjour Aude,
Je suis ravie d’apprendre que nous avons une passion en commun, n’hésite pas à me contacter en mp, ici ou via le café des blogueuses, si tu veux parler d’écriture plus longuement !
C’est génial que tu aies décidé de te lancer, félicitations.
Ravi d’en apprendre plus sur toi dans cette présentation et hâte de découvrir prochainement ton livre ! ?
Des bisous. Adeline
Quelle surprise et surtout quel bonheur de te retrouver ici sur ce blog. Toutes mes félicitations pour ton livre, la Brèche , que je viens de terminer. À présent, je vais suivre tes aventures en Thaïlande, bien loin du village gardois où j’étais ta voisine.
Françoise L
Bonjour Françoise,
Votre message me surprend et m’émeut. Je me souviens très bien de vous et de vos parents, que j’adorais. Quelle surprise que vous ayez découvert mon livre alors que vous n’êtes plus dans la région ! Merci beaucoup pour votre message, et à bientôt je l’espère.
Ton parcours est super inspirant… j’attends en ce moment les retours de maisons d’éditions à qui j’ai envoyé mon premier livre. Comme quoi y’a de l’espoir 🙂 Merci pour ton joli blog ! Eleonore
J’espère que les retours seront positifs ! Merci d’avoir pris le temps de laisser un message 🙂