[youtube https://www.youtube.com/watch?v=sm2Z2wcmujo&w=560&h=315]
Chronique de mon premier roman, La Brèche, par la booktubeuse Luna Lovebooks.
Début à 6min50
Publier un livre, c’est bien, faire en sorte qu’il soit lu, c’est mieux. C’est pour cela qu’il existe des services presse. J’avais eu l’occasion de découvrir de nombreux booktubers lors de mon stage dans le service communication d’une petite maison d’édition toulousaine, et c’est tout naturellement que j’ai contacté ceux que j’appréciais le plus pour leur proposer de chroniquer mon livre, dès sa sortie. Je trouvais que c’était sympa de les démarcher directement, pour leur montrer que je suivais leur travail et que j’en aimais le contenu.
Quand j’ai vu que la chronique de Luna Lovebooks (lien vers sa chaîne youtube) était sortie, j’étais à la fois hyper excitée et terrifiée. Non seulement c’est la première chronique du livre, mais sur Youtube qui plus est ! En gros, si un booktuber n’accroche pas du tout, et décide de tailler le livre en pièces, tous ses abonnés le savent, et je n’ai plus qu’à me mettre en position fœtale dans mon coin. Non j’exagère pas du tout. Bon, l’idée c’est que ça peut aussi très bien se passer, et dans ces cas là, c’est chouette. Voire très, très chouette.
La pression monte d’un cran quand je clique sur la vidéo de Luna et que je vois « 1 coup de coeur, et une grosse déception… » dans la description. Sachant qu’elle consacre cette vidéo à trois ouvrages, je me dis forcément que la grosse déception, c’est pour ma pomme. Bah oui, à quoi bon avoir confiance en soi ?
Mon état (presque pas exagéré) au moment de regarder la vidéo
Et là, grosse surprise : La Brèche est son coup de cœur. Je vous laisse découvrir son avis en cliquant sur la vidéo ci-dessus (la chronique du livre commence à 6min50, mais n’hésitez pas à tout regarder !). J’aime autant vous dire que jamais quelqu’un ne m’a autant donné envie de faire la danse du soleil dans tout mon immeuble.
Je vous laisse avec Luna, je m’en vais replay la vidéo jusqu’à ce que mes chevilles ne passent plus les portes.
Petit aperçu de la danse du soleil, parce qu’après tout, pourquoi pas ?
